À l’aune de la révolution technologique en cours et des opportunités qu’elle offre au monde d’aujourd’hui, ce projet d’envergure suscitera chez les jeunes des communautés autochtones une posture qui favorise l’échange, l’ouverture et la curiosité pour les métiers d’avenir. Parce qu’ils forment des jeunes à la fabrication numérique par le « faire », en intégrant les défis environnementaux, les Fab Labs innovent et réinventent le savoir-faire. Ils inspirent déjà les métiers de demain, des métiers à la croisée du numérique et des activités traditionnelles qui sont déterminés à la fois par le potentiel numérique et les grands enjeux sociétaux.

Ainsi, ce projet découverte permet de stimuler l’innovation et le développement des compétences dans le secteur numérique en :

• offrant une animation exploratoire aux étudiantes et étudiants des Premières Nations et Inuit
• abordant les compétences essentielles liées à des métiers clés de l’avenir

Ce projet favorise l’échange, l’ouverture et la curiosité des jeunes pour les possibilités de métiers d’avenir, afin qu’ils gagnent en autonomie. Il offre de prendre le temps et l’espace pour :

• questionner son parcours et la société dans laquelle on évolue
• élargir ses perspectives et aborder la vie avec un regard nouveau pour s’y engager avec plaisir, confiance et singularité
• s’outiller ou renforcer sa capacité face aux métiers de demain qui, pour la plupart, n’existent pas encore

Le projet ouvre la discussion autour des métiers d’avenir : quels métiers ont le plus de sens pour les jeunes, sont utiles à leur communauté et à la société, sont connectés au réel et qui perpétuent les savoir-faire dans les territoires. Le projet permet d’ouvrir les opportunités pour les jeunes d’innover que ce soit dans la forêt, pour voir perdurer leur culture, pour préserver le territoire.

Le projet est issu d’une collaboration du Comité consultatif des Premières Nations et Inuit relatif au marché du travail et de Communautique, avec le soutien des Services éducatifs du Conseil en éducation des Premières Nations. Le projet est soutenu par le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie par l’entremise du programme NovaScience.